« AZA mon cher Aza les cris de ta tendre Zilia, tels qu'une vapeur du matin, s'exhalent & sont dissip s avant d'arriver jusqu' toi; en vain je t'appelle mon secours; en vain j'attends que ton amour vienne briser les cha nes de mon esclavage: h las peut- tre les malheurs que j'ignore sont-ils les plus affreux peut- tre tes maux surpassent-ils les miens
La ville du Soleil, livr e la fureur d'une Nation barbare, devrait faire couler mes larmes; mais ma douleur, mes craintes, mon d sespoir, ne sont que pour toi...